Môa, Lemaléduqué…

L'atelierL'arTbitraire
1988 Route de Misson
40350 Pouillon
Souvent ouvert, mais mieux vaut appeler pour être certain de ne pas tomber sur un os, voire sur les chiens affamés.
Téléphone06.03.79.45.42Emaillemaleduque@yahoo.frlemaleduque@yahoo.fr
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Mon artistique en quelques mots-images…

  • FAUTE D’ECLAIRCISSEMENT.
  • Je(u) barbouille. Pour ébranler le sens de l’interprétation claire. Ainsi du reste. Ainsi de tout.
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Je… euh… jeu… euh… J’aim.. euh…

Je frappe le support. Ouille !

Je frappe les mots. Aïe !

Pour frapper le regard. Whaou !

Bref, JE BARBOUILLE et JE GRIBOUILLE ! Sur des feuilles A4 ordinaires renforcées, sur des feuilles A4 assemblées, sur des feuilles A3, sur des feuilles A3 assemblées, sur du papier kraft, sur du carton de récupération, sur du bois de palette, sur du revêtement de rénovation, sur des panneaux contreplaqués, sur… Mais jamais sur de la sacro-sainte toile. Jamais. Et quand j’encadre, c’est du système D, de l' »unconventional »…

Je m’exprime toujours à l’économie, avec ce que j’ai d’opportun dans mon « artbitraire ». Je barbouille le plus souvent à la gouache bon marché et essentiellement des femmes essorées de leur individualité qui suffoquent dans leur quotidien étriqué. Mes supports d’expression sont toujours volontairement violentés, abîmés, brûlés…. pour ne pas oublier que la vie est sauvage et agressive ! Sans souci de perspective, je m’exprime au gré de ma lubie de l’instant. Mes peintures sont volontairement assombrie pour du vernis colle et doivent donc être exposées à la bonne lumière pour être mieux appréciées. Elles sont en général accompagnées d’un texte plus ou moins long. Des mots pas toujours cohérents sur des maux souvent sans remède…

Allergique à l’académique, au constipé, à l’emmerdant, je barbouille. Je brouillonne. J’esquisse. J’ébauche. La férocité de la Belle Réalité qui assassine la vie réelle des gens ordinaires. Toujours naïvement, brutalement, imparfaitement. A la lueur d’une guinness, d’un whisky japonais, écossais ou … Je peins. Je plains. J’écris, Je crie. JE PEINCRIS… presque toujours des découragements, des agitations, des tristesses, des tourments, des désespoirs, des souffrances.

Je barbouille et je gribouille ce que je « vois », ce que j’ « entends », ce que je suis. Je suis né fâché avec la vie qui m’a enlevé à mon « Paradis ». J’appartiens à cette noble race d’enragé(e)s existentiel(le)s qui sont profondément convaincu(e)s que la souffrance -que nous traînons tout au long de notre vie humaine- commence à notre presque « conception ». J’écris presque parce que nous vivons un très court instant véritablement libres dans la matrice… avant d’être exposé(e)s, d’être récupéré(e)s, d’être brutalisé(e)s, d’être sexué(e), d’être socialisé(e), d’être normalisé(e)s, d’être sérialisé(e)s, d’être désêtre. Comme je le répète trop souvent, l’être humain naît enfermé, vit enfermé et meurt enfermé.

J’expose une partie de mon artistique sur les murs de mon atelier, © l’arTbitraire. Un puzzle géant morcelé. A reconstituer au gré de son désir de spectateur-acteur. Pour mieux éclairer le mal-aise, le mal-vivre, notre mal-être d’humain(e)s. N’hésitez pas à venir vous aventurer dans ce lieu atypique, devenu malgré lui un lieu culturel hybride.

Bienvenue dans un aperçu de mon univers tragique et poétique

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L’AMOUR EST MORT, VIVE L’aMORT.

Des regards. Rapides, insistants, appâteurs. Des sourires. Embarrassés, engageants, pour un rien. Des mots. Craintifs et mal orthographiés, claironnants, séduisants. Des caresses. Douces, voluptueuses, préliminaires. Des envies. Folles, détraquées, débridées. Et l’Amour est injecté. Ah !…, mais trop tard. L’Amour galope sur son grand A. Galopade éperdue et désespérée. Dans mes veines gonflées d’enthousiasmes amoureux. Dans mon corps plein de tendresse qui s’offre de la bouche à l’anus. Dans mes entrailles qui se nouent, comme pour me prévenir que ce n’est déjà plus de l’Amour. Dans mon âme prévoyante qui recoud en urgence mes lambeaux de peine. Dans ma tête où s’emprisonnent mes sens trompés et mes rêves violés. Dans mon cœur où IL finit sa course à bout de souffle. Cœur haletant qui palpite fort. Boum ! Boum ! Fin de l’acte ! C’était forcé ! L’Amour ? Un éclair fulgurant et aveuglant. Un impact violent et cruel. Un sursaut d’orgueil et de jouir. Un doux vertige des abîmes. Un mot tombé sous les sens. Un égarement à jamais. UNE SIMPLE BAISE. L’Amour, ça dévaste et ça désole. Reste l’amort pour expier mon péché, mon penchant irrésistible à croire qu’un shoot miraculeux peut accomplir des miracles.

#tuasledroitdecroireenlAmourcommejailedroitdecroirequelamortestplusfort #àlAmouràlamort

MOTs DITs.

Ca suffit ! L’Amour est un marécage de larmes puantes où croupissent des trognons de pomme d’après la tentation. Et tu voudrais de cette pourriture ??? !!! Mais bordel mon amort, tu déconnes !!! Détonne plutôt !

#lAmourcestpourlespoupéesbarbantes#lAmourcestpourlespoupéesbarbantes

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DESILLUSIONNEMENT.

La grande illusion, c’est la réalité vécue. Elle brise l’expression des maux sur les lèvres et fait regretter d’être poétique.

AMEN FATALISTE.

L’âme dans le vide,

Déconnectée du Réel,

Fixe distraitement le recraché

D’un corps pillé et dévasté

D’où s’échappe une fumée

Irritante et suffocante.

Expression toute faite

De la difficulté d’être…

Une Femme du Désir.

Toussotement tourmentés

A rendre l’âme…

Errante sur Terre

Et maudite au Ciel !

Dissociation poétique

Au macabre métaphorique.

Fin de la cigarette.

Retour chez soi.

Ainsi soit-il !

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I HAVE A DREAM.

A tout stériliser, l’imagination humaine est devenue récréative, inféconde, stérile. L’imagination est créative ou n’est pas. Que les imaginations se contaminent donc à l’absurde, au vouloir envers et contre tous.

VOYAGE ALLER.

J’aspire. Posément. J’expire. Exagérément. Jusqu’à m’expulser… Et voilà que je m’éparpille dans l’air, légère d’espoirs. Être sans espérance(s) ! Où suis-je ? Nulle part ! Je ne suis plus chez moi. Je ne suis plus moi. Loin des splendeurs hypnotiques du réel, je m’épanouis, comme un coquelicot, sur les âpres sentiers de l’inexistence de l’existence. Loin des ruines ensanglantées de la vie, dans un ailleurs mieux que là où j’étais toujours.

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Série TRISTESSE ORDINAIRE 1

MANQUE DE CHANCE.

Un brusque éclat de passion a piqué au vif mes yeux exaltés. Aïe ! Putain de coup d’éclat ! Il a lézardé mon bonheur insolent et a fait suinter sur mes joues enjouées des larmes angoissées !

Série TRISTESSE ORDINAIRE 2

DRÔLE DE GUERRE.

TATAATA à répétition… Larme lourde crépite de désirs soudains. Je voeux, bordel ! Je vœux au présent. Parce qu’au conditionnel le vous de politesse m’emmerde. Nouvelles salves rageuses et désireuses. Puis la larme se tait. Silence pesant. Encore une fausse alerte. Être l’ennemi de soi-même est une lutte très coûteuse. Défaite… et affaiblie, je ramasse péniblement mes douilles de larme. Et je finis de pleurer en silence.

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Post-scriptum. On m’interroge fréquemment. 1) « Qu’est-ce que l’underground exactement ? » , 2) « Qu’est-ce qu’un barbouilleur underground précisément ? » . Je témoigne. Sous le merdier de la Raison, l’Underground. Sous la Belle Réalité, le réel en expression, en dé-pression. Sous le Principe de Réalité, le Réel assassiné de principes ! Sous l’harmonie apparente, la Souffrance. Écrit autrement, l’underground, c’est tout ce que la Société cherche à (se) cacher ! L’indigne, le méprisable, l’abject, l’infâme, l’infect, le puant, le…  toute sa prétendue merde quoi ! Et le barbouilleur underground, une pompe à merde ! Qui aspire ! Parfois trop fort ! Et ça gicle de partout ! Et ça éclabousse le Monde Pur. Du désordre enfin !

N’hésitez pas à venir me rencontrer dans mon atelier l’arTbitraire ; un espace artistico-littéraire indépendant où il se passe toujours quelque chose.

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ELOGE DE L’AUTO-EROTISME D’UNE FEMME MÛRE. Retour dU PoEME daDaISTE

En HoMmage à trisTan tZaRa.

Le cœur fermé comme une portière de voiture,/Le corps ouvert aux quatre vents du monde,/Je m’isole de mon espace cubique superficiel./Je me suis désirable dans ma beauté affolée./Amoureuse de ma dépouille de femme solitaire,/Et de ses vertus de féminité fragmentaires,/Je me fais plaisir du sein à l’esprit. Absolument./Et je me baise avec la bouche, avec mes mots,/Avec mes doigts, avec mes fantômes fantasmatiques./Et je jouis et me je me perds dans mes maux./Douce musique aux regards reconnaissants./Et mes viscères vissés à mon ordinaire pesant,/S’offrent à l’univers. Jusqu’à se fondre… ???…/Dans la chaleur d’une étoile encore célibataire./Mon corps dans sa simplicité de figuration,/Devenu fruit trop mûr dont je me délecte/Dans un état mystérieux de transsubtantiation,/Devient dépouille d’un corps humain effacé de l’histoire./Me voilà un nouvel être à la métaphore dépouillée,/Nouvelle viande d’une autre forme humaine./Et je m’embrasse de fleurs rouges et noires./Et la femme aimée, portrait féminin expressif,/Au corps érotique haletant d’un plaisir de sens,/N’a plus sa vie rustique et caustique./L’artistique de l’auto-érotisme intégral,/A désintégré ma personnalité banale./Me voilà femme sans les fards d’ornement/Aux fantaisies érotiques les plus exquises./Erotisme reconnaissant d’un corps chialeur/Fragmenté pour un morcellement non désiré./Yeux, oreilles, tétons, nombril, cuisses, pieds…/Panoplie d’objets inertes voués au lubrique/D’un ex mâle détaché de toute sensualité./Qui arrachait ferme de son membre virile/Les détails les plus délicats de sa femelle./Une fleur fragile qu’il voulait arracher de son pot,/Pour nourrir son grossier fétichisme euphorique/De l’expérience de l’instant fatal. Souvenir ! Fini !/Les yeux entrouverts, les lèvres gonflées, la langue à moitié tirée,/J’explose mon sexe entrebâillé d’un feu céleste./Pour en éclore l’essence de la brièveté ;/Energie de l’érotisme fondateur./Mon corps intime et bouillant est un panorama/Qui s’agrandit et s’affirme à vue d’oeil./Impression de vastitude typiquement poétique./Transformation gracieuse où le mâle devenu minuscule/Se perd dans un décors de tendre rêverie./Et je referme ce poème lyrique/Laissant mon corps érotique et mon esprit libertin/Dans l’expression retiré de tout horizon de signification.

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Série « Et j’ai crié le dedans en dehors » n°1.

SUPPOSITION

Sans doute, au commencement, Eve avait crié comme une damnée. Mais il était déjà trop tard !

Série « Et j’ai crié le dedans en dehors » n° 3

HISTOIRE D’AMORT BANALE.

Sur le mur des traces de fantaisie poétique quand j’étais ENVIEs… que tu me fasses l’amour pendant mes règles, que tu me mordes les lèvres de mots tendres, que tu peignes mes angoisses avec ton sexe gonflé de sangtiments, que tu combles mon regard vide d’expression de tes éjaculations enjouées, que… Jusqu’à sentir ton souffle m’empestait l’âme amoureuse, jusqu’à ce que tes caresses me baisent violemment, jusqu’à ressentir ta bite pleine de haine me poignarder les os. Et tu m’as tuée à me vouloir toujours plus près de toi. Tu as étouffé ta poupée chérie et brisé son corps fragile de porcelaine. Juste au moment où elle allait te pardonner de la priver de ses orgasmes qui ranimaient son cœur laissé pour compte. Enfermée dans les effets secondaires de psychotropes charitables, la mort me fait l’amour. Trop tard, j’ai perdu le goût délicieux du grand A…hh  si j’avais su !…rvécu, peut-être t’aimerais-je encore ???

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Jeune femme assise sur des chiottes. Variante 4.

UN INSTANT AUPARAVANT.

Je m’interpelle en écoutant le tic-tac de la vie . ¡Hola! Qué Tal. Bof !… quand je ne suis pas la réalité de mon imaginaire. Assise dans les chiottes glauques d’un bar à cocktails, je me confie mes maux. Quel âge avais-je donc quand j’étais heureuse ? Et je ranime, avec mes larmes de morte toujours trop vivantes, mes désirs encore pas réalisés. Ce soir encore, j’ai peur de dormir. De rêver à l’horreur de vivre.

Petite décalogie « Du célèbre rebarbouillé »

Série « Du  célèbre rebarbouillé » 1

(Ceci n’est pas du Léonard de Vinci)

RECIT SUCCINT ET POETIQUE DE LA JOCONDE.

Mona Lisa prit une pause académique pour son futur grand public. Avant de s’offrir autrement à son amant transi. Pause de quelques minutes. Elle boit excessivement. Il boit modérément. Elle fume un joint. Il préfère une cigarette. Tout à coup, elle s’expose nue sur un tabouret chancelant. Son corps fragile bouge, gesticule, se désarticule. Elle se sent vivante. Il barbouille l’être réel. Ils s’embrassent pour de vrai. Ils s’embrasent pour de faux. Et ils se laissent bercer par les flots agités des mots métaphysiques et des actes de foi. Hors du temps et de l’espace. Hors de soi. Ils se sont inventés sur l’instant l’Amour. Ils profitent d’aimer. Elle aime. Il aime. Ils n’aimeront plus. Gonflés d’envies réprimées, ils orgasment en chœur. Cœurs battant la chamade. Qui saignent déjà. Hémorragie. La sève rouge s’est tarie. Elle rhabille son corps tout pâle. Elle s’enferme pour toujours dans sa solitude. Il reste nu. Caché par le silence écrasant. Elle est définitivement partie. Mourir d’ennui incurable. Il ne lui reste plus que le portait mort. Qu’il livrera en pâture au monde libidineux. Qui a besoin de mythes pour se donner l’illusion de vivre…

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Série « Du  célèbre rebarbouillé » 2

(Ceci n’est pas du Edvard Munch)

AND I CRIED SO MUNCH…

L’Amour est une rouGEÔLE. Il fait monter le rouge au front. Fièvre amoureuse. Il met dans le rouge. Plaisirs défendus. Il tient en quarantaine. Femme séquestrée d’avec lui. Il décolore les yeux de larmes rougeoyantes. Tristesse maladive. Il oblige à tirer un trait rouge sur le futur simple. Virus morbide. L’Amour, Il faut s’en  prémunir durablement ! Et je me suis vaccinée contre la rouGEÔLE. Et tant mieux pour les autres.

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Série « Du  célèbre rebarbouillé » 3

(Ceci n’est pas du Johannes Vermeer)

SUBLIMATION EPHEMERE.

J’étais une femme très semblable à toutes les autres. Mais… En me sculptant avec ses pinceaux vigoureux, il m’a débarrassée de mes traits dégradés, altérés, abîmés, ravagés, déchirés par une existence cruelle. En m’illuminant de ses couleurs heureuses, il a éclairé et ennobli tout mon dedans amoché, bosselé, délabré, dévasté, anéanti par un bonheur perdu. Et ce jusqu’à mes parties les plus intimes. Son imagination surchauffée m’a idéalisée, m’a embellie et m’a faite paraître plus belle. Et j’ai cru que c’était arrivé. Et je me suis remplie de mensonges joyeux. Et je l’ai embrassé pleine bouche. Et j’ai consolé mon désespoir tragique et réel par des espérances illusoires. Et j’ai réalisé un rêve d’enfance. Être idéalement belle et heureuse ! Et j’ai craché mon joint. Pour mieux jouir de l’instant déréalisé et éphémère. Et il m’a accroché au mur. Et il s’est en allé. Et dans ma solitude glaciale, je me suis revêtue de mes oripeaux discordants.

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Série « Du  célèbre rebarbouillé » 4

(Ceci n’est pas du EGON SHIELE)

INSATISFACTION PARTAGEE.

Femmes assises, genoux repliés, nous accusons le poids de notre tête perdue dans une solitude frustrante. Nous ne voulions que de l’amour même altéré, même rouillé, même rongé. De l’amour abîmé que nous aurions restauré et renvoyé dans nos chiennes de vies errantes.

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Série « Du  célèbre rebarbouillé » 5

(Ceci n’est pas du PABLO PICASSO)

BORDEL, SI PAR TOUT HASARD…

Dans des chambres de la carrer d’Avinyó, des demoiselles de Barcelone offrent leurs vœux ardents aux joyeux soupirs de leurs amants du moment. Des fois qu’ils tomberaient sur une oreille attentive et engageante…

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Série « Du  célèbre rebarbouillé » 6

(Ceci n’est pas du RENE MAGRITTE)

LA FEMME COIFFEE D’UN CHAPEAU

Le chat est mort. Le chapeau melon, non. Alors… La femme coiffée d’un chapeau a perdu la notion de la réalité en voulant s’en échapper. Surtout ne lui demandez pas de descendre de ses nuages. Ce serait bien dommage de gâcher son voyage !

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Série « Du  célèbre rebarbouillé » 7

(Ceci n’est pas du BANKSY)

TOUT COMPTE FAIT…

En perte d’être, d’avenir, d’existence, la petite fille devenue grande fume un joint pour s’inventer un nouveau mensonge. Tout conte de fées finit mal en général.

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Série « Du  célèbre rebarbouillé » 8

(Ceci n’est pas du ROY LICHTENSTEIN)

QUESTION D’ACTUALITE

L’hôpital est rempli de gens qui m’aiment pour ce que je suis. Mais toi, m’aimes-tu telle que je suis ?

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Série « Du  célèbre rebarbouillé » 9

(Ceci n’est pas du ENRICO BAJ)

UBUE DE SOI-MÊME

Dans le désastre affreux, Madame La République s’expose en pleine lumière. Avec son ridicule grotesque et son lamentable pitoyable. Distribuant ici et là, et en toute légalité, de la liberté préoccupée et du rêve de fraternité. A toujours vouloir idéaliser, Madame La République tend puissamment vers l’Idéal, vers le culte de l’Illusoire.

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Série « Du  célèbre rebarbouillé » 10

(Ceci n’est pas du Ernst Ludwig KIRCHNER)

PROFANATION DE l’IDEAL

Je blasphème tout ce qui est dépourvu de sauvage, de désespéré, d’essentiel. Et donc l’Idéal quand il se revêt de son I majestueux, pompeux, vaniteux. Et je l’ai furieusement renversé de son piédestal. Et je l’ai laissé gémir dans sa faiblesse de style. Il n’avait qu’à pas…

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